Ombre et lumière

Une expérience fantastique avec Théo, fraîchement arrivée au salon, qui me coiffait déjà avant d'être chez Reflet et Ombre. Balayage impeccable, tarifs abordables pour une prestation de qualité. Beaucoup de belles perspectives pour ce salon qui deviendra sûrement incontournable à Marseille et ses environs !

Dommage la forte augmentation de prix sous prétexte qu'il y avait moins de coupe à faire la dernière fois (femme cheveux courts). De plus, pas de paiement par carte bancaire... on se croirait en 2010. En revanche, le personnel et la gérante sont très agréables et professionnels.

À éviter. Après avoir pris rendez-vous et demandé le temps approximatif de la prestation, j'arrive au salon. Surpris désagréablement par le bruit des personnes venues se faire coiffer pour un mariage, j'attends qu'on remarque ma présence... au bout de 10 minutes. On me propose un siège au milieu de l'agitation. Je prends mon mal en patience, pendant que les clientes (mariage) rient, crient, passent et repassent en me bousculant. Je réalise que je serai très en retard... J'attends dans une odeur forte de produits capillaires, tellement intense que la porte est ouverte et qu'il fait froid. En bref, ce n'est pas l'ambiance chaleureuse, fuyez si c'est ce que vous recherchez. 15 min... 20... 30 min. Une coiffeuse, la responsable ? me place devant le miroir, soulève mes cheveux avec un air dégoûté et me propose une thérapie (10 min) que je refuse en expliquant que je n'ai vraiment pas le temps et que je dois partir dans 1 heure. Elle s'exclame que c'est impossible, qu'il faut au moins 1h30 pour ma couleur comme si j'étais responsable de son retard ! Je n'ai rien dit, ai-je été bête ! Puis elle s'en va, demande à un apprenti qui balayait depuis un moment de s'occuper de mon shampoing... Quelle organisation ! Ils devraient prendre exemple ! Je vais raccourcir la fin de cette prestation chez eux en précisant que tout a traîné tellement que je suis partie avec 45 minutes de retard et les cheveux encore mouillés sans excuse de leur part. C'est la seule et unique fois où je mets les pieds dans ce salon.